Biographie de Karen Walker, personnage de la série Will & Grace joué par Megan Mullally - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
Karen Walker est la femme de Stan(ley) Walker, un milliardaire New-Yorkais que l’on ne voit jamais. Pour occuper ses journées, elle travaille comme secrétaire de Grace. Enfin, quand je dis "travaille", c’est plutôt critique les tenues vestimentaires de Grace, regarde en long en large et en travers les catalogues de mode, fait et refait sa manucure et son maquillage, boit, rigole ou parle de tout et de rien.
Bref un vrai bonheur pour les yeux et les oreilles !
Famille
Karen a une mère à laquelle elle ne parle plus. Par exemple, Karen n’a présenté des excuses qu’une seule fois dans sa vie : à sa mère et parce que le tribunal l’y obligeait.
Sinon, étant donné qu’elle est mariée à Stan, elle a dû prendre par la même occasion les deux enfants de ce dernier, on peut dire qu’elle ne s’occupe pas trop mal de leur scolarité.
Elle a une bonne, Rosario, au début en situation irrégulière aux Etats-Unis, puis après un mariage avec Jack, résidente définitive. Elle entretient avec cette dernière une relation mère/fille (qui fait l’une ou l’autre ?...difficile à dire !) basée sur le sado-masochisme. Eh bé !!
Scolarité
Pas de trop grosses études. Elle se servait de ses formes avantageuses pour se faire attribuer de très bonnes notes, après que ses professeurs soient passés dans son lit.
Vie
Karen a un passé assez trouble: elle a tourné dans quelques films sado-maso, avant d’être demandée en mariage par la reine du gazon, dix fois couronnée à Wimbledon : Martina Navratilova (excusez du peu). Puis elle s’est mariée avec Stan, ou plutôt son compte en banque.
Karen est l’être le plus égocentrique, mesquin, radin que la Terre ait porté... avec Jack, et comme on dit, qui se ressemble s’assemble. Bref, Karen est un personnage comme on n’en voit rarement à la télévision, et on l’adore.
D’ailleurs, pour les gens qui ont eu la chance de voir Madame est servie, vous vous souvenez forcément de Mona, la grand-mère qu’on aimerait tous avoir, et bien Karen c'est à peu près la même, sans gêne, obsédée, critique son entourage... enfin Mona, c’était ça et Karen, c’est pareil mais... en 100 fois pire...vous voyez le tableau !
Merci à Julien Scavini